Démarrer un parcours de lectio divina dans le livre :
Prière d’ouverture à l’Esprit Saint
Seigneur Jésus,
tu as traversé des abîmes d’angoisses,
tu les as éprouvées jusque dans tes entrailles
et n’as pas cherché à les fuir.
Tu as ouvert un chemin
pour que nous osions voir nos propres abîmes
et les traverser.
Viens, par l’Esprit qui t’a assisté,
nous conduire sur nos propres chemins
à l’écoute de ta Parole.
Amen.
Tu peux noter un verset ou un groupe de mots.
Psaume 22(21),2-22
2 Mon Dieu, mon Dieu,
pourquoi m’as-tu abandonné ?
Le salut est loin de moi,
loin des mots que je rugis.
3 Mon Dieu, j’appelle tout le jour,
et tu ne réponds pas ;
même la nuit,
je n’ai pas de repos.
4 Toi, pourtant, tu es saint,
toi qui habites les hymnes d’Israël !
5 C’est en toi que nos pères espéraient,
ils espéraient et tu les délivrais.
6 Quand ils criaient vers toi, ils échappaient ;
en toi ils espéraient et n’étaient pas déçus.
7 Et moi, je suis un ver, pas un homme,
raillé par les gens, rejeté par le peuple.
8 Tous ceux qui me voient me bafouent,
ils ricanent et hochent la tête :
9 « Il comptait sur le Seigneur : qu’il le délivre !
Qu’il le sauve, puisqu’il est son ami ! »
10 C’est toi qui m’as tiré du ventre de ma mère,
qui m’as mis en sûreté entre ses bras.
11 À toi je fus confié dès ma naissance ;
dès le ventre de ma mère, tu es mon Dieu.
12 Ne sois pas loin : l’angoisse est proche,
je n’ai personne pour m’aider.
13 Des fauves nombreux me cernent,
des taureaux de Basan m’encerclent.
14 Des lions qui déchirent et rugissent
ouvrent leur gueule contre moi.
15 Je suis comme l’eau qui se répand,
tous mes membres se disloquent.
Mon cœur est comme la cire,
il fond au milieu de mes entrailles.
16 Ma vigueur a séché comme l’argile,
ma langue colle à mon palais.
Tu me mènes à la poussière de la mort.
17 Oui, des chiens me cernent,
une bande de vauriens m’entoure.
Ils me percent les mains et les pieds ;
18 je peux compter tous mes os.
Ces gens me voient, ils me regardent.
19 Ils partagent entre eux mes habits
et tirent au sort mon vêtement.
20 Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin :
ô ma force, viens vite à mon aide !
21 Préserve ma vie de l’épée,
arrache-moi aux griffes du chien ;
22 sauve-moi de la gueule du lion
et de la corne des buffles.
Tu m’as répondu !
Pose-toi la question "Qu'est-ce que le texte me dit ?"
Tu peux noter tes réponses.
Psaume 22(21),2-22
2 Mon Dieu, mon Dieu,
pourquoi m’as-tu abandonné ?
Le salut est loin de moi,
loin des mots que je rugis.
3 Mon Dieu, j’appelle tout le jour,
et tu ne réponds pas ;
même la nuit,
je n’ai pas de repos.
4 Toi, pourtant, tu es saint,
toi qui habites les hymnes d’Israël !
5 C’est en toi que nos pères espéraient,
ils espéraient et tu les délivrais.
6 Quand ils criaient vers toi, ils échappaient ;
en toi ils espéraient et n’étaient pas déçus.
7 Et moi, je suis un ver, pas un homme,
raillé par les gens, rejeté par le peuple.
8 Tous ceux qui me voient me bafouent,
ils ricanent et hochent la tête :
9 « Il comptait sur le Seigneur : qu’il le délivre !
Qu’il le sauve, puisqu’il est son ami ! »
10 C’est toi qui m’as tiré du ventre de ma mère,
qui m’as mis en sûreté entre ses bras.
11 À toi je fus confié dès ma naissance ;
dès le ventre de ma mère, tu es mon Dieu.
12 Ne sois pas loin : l’angoisse est proche,
je n’ai personne pour m’aider.
13 Des fauves nombreux me cernent,
des taureaux de Basan m’encerclent.
14 Des lions qui déchirent et rugissent
ouvrent leur gueule contre moi.
15 Je suis comme l’eau qui se répand,
tous mes membres se disloquent.
Mon cœur est comme la cire,
il fond au milieu de mes entrailles.
16 Ma vigueur a séché comme l’argile,
ma langue colle à mon palais.
Tu me mènes à la poussière de la mort.
17 Oui, des chiens me cernent,
une bande de vauriens m’entoure.
Ils me percent les mains et les pieds ;
18 je peux compter tous mes os.
Ces gens me voient, ils me regardent.
19 Ils partagent entre eux mes habits
et tirent au sort mon vêtement.
20 Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin :
ô ma force, viens vite à mon aide !
21 Préserve ma vie de l’épée,
arrache-moi aux griffes du chien ;
22 sauve-moi de la gueule du lion
et de la corne des buffles.
Tu m’as répondu !
Réponds à la question "Quelle est ma réponse au Christ ?"
Tu peux noter une prière.
Psaume 22(21),2-22
2 Mon Dieu, mon Dieu,
pourquoi m’as-tu abandonné ?
Le salut est loin de moi,
loin des mots que je rugis.
3 Mon Dieu, j’appelle tout le jour,
et tu ne réponds pas ;
même la nuit,
je n’ai pas de repos.
4 Toi, pourtant, tu es saint,
toi qui habites les hymnes d’Israël !
5 C’est en toi que nos pères espéraient,
ils espéraient et tu les délivrais.
6 Quand ils criaient vers toi, ils échappaient ;
en toi ils espéraient et n’étaient pas déçus.
7 Et moi, je suis un ver, pas un homme,
raillé par les gens, rejeté par le peuple.
8 Tous ceux qui me voient me bafouent,
ils ricanent et hochent la tête :
9 « Il comptait sur le Seigneur : qu’il le délivre !
Qu’il le sauve, puisqu’il est son ami ! »
10 C’est toi qui m’as tiré du ventre de ma mère,
qui m’as mis en sûreté entre ses bras.
11 À toi je fus confié dès ma naissance ;
dès le ventre de ma mère, tu es mon Dieu.
12 Ne sois pas loin : l’angoisse est proche,
je n’ai personne pour m’aider.
13 Des fauves nombreux me cernent,
des taureaux de Basan m’encerclent.
14 Des lions qui déchirent et rugissent
ouvrent leur gueule contre moi.
15 Je suis comme l’eau qui se répand,
tous mes membres se disloquent.
Mon cœur est comme la cire,
il fond au milieu de mes entrailles.
16 Ma vigueur a séché comme l’argile,
ma langue colle à mon palais.
Tu me mènes à la poussière de la mort.
17 Oui, des chiens me cernent,
une bande de vauriens m’entoure.
Ils me percent les mains et les pieds ;
18 je peux compter tous mes os.
Ces gens me voient, ils me regardent.
19 Ils partagent entre eux mes habits
et tirent au sort mon vêtement.
20 Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin :
ô ma force, viens vite à mon aide !
21 Préserve ma vie de l’épée,
arrache-moi aux griffes du chien ;
22 sauve-moi de la gueule du lion
et de la corne des buffles.
Tu m’as répondu !
Prière d'envoi
Seigneur,
quand j’ai peur,
je ne cherche pas automatiquement ton secours ;
je risque plutôt de me liquéfier,
je cherche des moyens de survivre en oubliant,
en dormant pour ne rien sentir.
Mais toi, Seigneur,
tu n’as pas eu peur d’avoir peur
et aujourd’hui tu me rejoins dans mes peurs !
Avec toi, nous pouvons grandir,
dans la conscience de nos abîmes
comme dans ta Présence.
Tu nous conduis vers un au-delà.
Au cœur de l’abîme, tu viens à notre secours.
Amen.